Libmag 53

Edito n°53

Houlala ! C’est qu’elle a fait parler, cette couverture ! Promis, juré, je ne recommencerai pas ! Mea culpa, plus jamais je ne prendrai l’initiative de choisir la photo de couverture* sans  demander l’avis de mes collègues! Moi, je ne suis qu’un petit gratte-papier, un griffonneur d’édito, le vilain petit canard du Canard ! Ben oui, Cher Lecteur et surtout, chers phonistes et écrivains anonymes qui ont cru bon, et je les en remercie, de me faire mettre le doigt dessus et le nez dedans ; je n’ai pas respecté le devoir de parité pour la couv’ de la Saint Valentin ! Cette fameuse parité dont tout le monde parle et qui devrait compléter notre devise républicaine aux frontispices des monuments nationaux: Liberté, Egalité, Fraternité et…Parité. Cette nouvelle loi qui oblige nos candidats aux élections municipales à se casser la tête pour la respecter à la lettre : un homme, une femme ...une femme, un homme… 

Donc, certains ont remarqué cette image de couverture. Un mauvais choix ou peut-être tout simplement un petit clin d’œil à l’actualité qui faisait la une de toute la presse sur cinq colonnes ; le mariage pour tous. Moi, je me suis dit, la Saint Valentin pour tous. Loin de moi la pensée que ce cliché pouvait déclencher les foudres de guerre de certains qui prirent au premier degré ce que je pensais être un clin d’œil amusé, joyeux et…gai. L’année prochaine, c’est re-promis, re-juré, je la respecterai cette fameuse parité et inverserai les sexes. Comme disent certains, les plus courtes sont les meilleures…

Passons aux sujets qui nous intéressent; les bonnes affaires du grand libournais et les nouveautés. Dans cette nouvelle édition de Lib’Mag, tu trouveras, Cher Lecteur, de nouvelles adresses testées pour toi. En particulier une que je te conseille, te connaissant gourmand et gourmet. Le midi, rendez-vous au Midi, c’est le nom de baptême donné par Hélène et Valérie Arpin et Frédéric Chaigne qui viennent d’inaugurer ce nouveau resto… A découvrir rapidos cette nouvelle table, rue des Treilles à Libourne.

Donc feuillette tranquillement ton petit Lib’Mag, moi je retourne dans ma rubrique coincée entre la page deux et la quatre, en haut à gauche et parole, je n’irais plus batifoler ailleurs ! Mea Culpa.

Jean-Luc Peyreblanque