C’est bien connu, nous, les français, ne sommes jamais contents. Jamais satisfaits, on a toujours un truc à redire, un avis contraire, une revendication, un machin qui va de travers. Et gna gna gna…Alors, plus tu descends vers le Sud, le midi moins le quart, vers chez nous quoi ! C’est « gnangnangnancon! », «gnangnangnanp ….. », c’est pire  !!!

Mais il faut bien reconnaitre que, lorsque l’on touche ne serait-ce qu’à un cheveu de notre Marianne Adorée, lorsque l’on bafoue notre République, on est capable de te noircir de monde la place Abel Surchamp à Libourne et de te faire un défilé où les premiers rejoignent les derniers en encerclant notre bastide depuis les allées en passant par les quais…Chapeau bas, les Amis !  Même, sur cette place, s’il n-y avait pas eu cette Fontaine (!), on aurait pu en caser mille de plus…CHAPEAU les Amis ! 

Autre sujet. A Libourne, pour le « chahubahu », ce n’est pas fini car tu n’es pas sans savoir, Cher Lecteur, que les « Grands Travaux » vont commencer. Le « plateau semi-piétonnier » dont ont parle depuis si longtemps va connaître son premier coup de pioche. Le Maire et son équipe ont décidé, de mettre en branle cette promesse électorale. Décision courageuse ma foi, et projet déterminant pour l’avenir de notre cité. Ce n’est certainement pas les grands travaux haussmanniens, mais, le centre ville et son organisation risque d’être perturbé pendant la durée de ces derniers et pour que cette mutation se passe dans les meilleures conditions, chacun à pu être avisé, interrogé, ausculté, écouté. Chaque quartier, chaque Asso, chaque commerçant et artisan, profession libérale a été consulté; un travail de titans et je pense que si le « pendant » se passe comme l’ « avant », l’ « après » placera notre bastide comme étant la plus belle du Sud-ouest et confirmera que Libourne est la ville phare, à taille humaine, dynamique ou il fait bon vivre!

Pendant les travaux seront-nous donc tous les coudes, soyons tolérants et patients car le jeu en vaut la chandelle et les quelques désagréments que l’on va subir ne seront rien en rapport à l’ambition du projet.

Et comme dit l’autre; on fait pas d’omelette…..

Jean-Luc Peyreblanque